mercredi 15 février 2017

Furtif

Dis, pourquoi tu viens me lire masqué-e ? D'accord, quand les statistiques de mon blog indiquent une connexion depuis le Sénégal ("salut homme sage") et l'Angola ("coucou, toi"), je sais qui ça peut être - à tout le moins selon une certaine vraisemblance -. 

Et alors ? Est-ce tellement important d'être "ni vu ni connu" ? Je ne vois de toute façon pas ce que je pourrais faire - déduire de l'adresse : je ne suis pas de la police.

Bref, reviens quand même, hein, c'est pas le souci, c'est juste que je suis surprise par ton côté furtif. 

Et vous, lectrice, lecteur, jusqu'à quel point veillez-vous à votre anonymat sur le net ? 

A bientôt si vous le voulez bien,

5 commentaires:

  1. J'ai remarqué que plusieurs de mes commentaires ne sont pas apparus. Est-ce que cet anonyme c'est moi ? Etre ou ne pas être...

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  2. Je ne suis pas capable de savoir qui est venu avec une adresse furtive mais je regrette que certains de tes commentaires ne soient pas publiés, Mirou : te savoir de passage ici me fait très plaisir, d'autant en ce mois de février qui marque la fermeture de cuk...

    Au plaisir de te "revoir", bises,

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  3. Je crois que c'est depuis mon iPad que cela ne fonctionne jamais.
    Mais ça me fait plaisir de revoir votre blogue s'animer Mme Poppins! Moi aussi l'arrêt de cuk me fait bizarre. Heureusement je ne suis pas un nostalgique: je suis sur que de la même manière que nous vous retrouvons ici, nous allons retrouver les autres rédacteurs ailleurs!

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  4. La raison majeure de l'anonymat majoritaire qui me conduit, un peu au petit bonheur la chance, est de ne pas recevoir de pub. Jusqu'ici ça marche à peu près.
    Je sais ne pas être anonyme, en témoigne le nombre de site qui relaie mon indentité.

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  5. Franklin, t'as quand même reçu une pub "visitez la Suisse, c'est joli" ;-)

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