jeudi 1 juin 2017

Le "hic"..

Sur le principe, je suis (pour une fois) toujours d'accord avec moi-même depuis ce message : le hic, c'est que je n'ai pas l'assurance d'avoir raison. Seul l'avenir le dira : pour l'heure, il reste hospitalisé pour une durée indéterminée et j'espère que ce choix est le "bon". 

En principe, je fuis les certitudes et les gens qui en sont pétris mais je découvre en ce moment que ça doit être parfois "confortable" : le doute est un venin redoutable. 

A part que la mort vous guette, avez-vous des certitudes ? 

A bientôt si vous le voulez bien, 

14 commentaires:

  1. J'ai bien peu de certitudes, si ce n'est que je pense fort à vous. Quelle décision difficile. Courageuse.

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  2. Ma certitude est que les enfants sont des personnes comme les autres. Je leur ai toujours parlé, depuis qu'ils étaient bébés, avec le respect qu'on a envers des personnes, indépendamment de leur âge, volontairement et en parfaite conscience.
    Je parle de mon intonation, exclusivement de mon intonation, des inflexions de ma voix. On m'a toujours dit que, quand je parlais à des bébés ou à des petits enfants, à mes enfants, si on ne ne voyait pas à qui je parlais, il était impossible de savoir si je parlais à un adulte ou à un bébé.
    Faute de certitude, j'ai du moins cette conviction que ça a été une bonne attitude.
    Et comme ça se vérifiait, à l'effarement fréquent de parents chez qui nous étions invités, dont les enfants "timides", "mal à l'aise avec des personnes inconnues", voulaient tout de suite jouer avec moi, me montrer camions ou poupées, j'en ai déduit que ce mode de fonctionnement était peut-être l'un des bons chemins possibles vers les bébés, vers les enfants. Vers les ados ? Je dirais que oui.
    Je ne me vante de rien, qu'on me comprenne. Je dis que ça a toujours bien fonctionné, cette approche.

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  3. Je ne sais pas si je suis, si j’ai été un bon père et grand père. Mais je suis sûr de ma tendresse pour mes enfants et petits enfants, j’ai toujours essayé d’être un ami sur lequel ils peuvent compter, un compagnon dans tout ce qui peut arriver. Et avec ça je suis en paix. Je ne suis pas l'auteur de ces mots.
    L'autre croyance est le line qui s'établit en dehors des êtres par la communication

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  4. Ce n'est pas toi, je suppose, qui décide que l'hospitalisation se poursuit.
    C'est l'équipe soignante qui, sur base de ce qui est actuellement connu, préfère le garder pour poursuivre le bilan et les soins...
    Aider quelqu'un n'est jamais facile. Contre son gré, c'est encore plus difficile... Et j'imagine que tous les enfants ont, un jour, détesté leurs parents. Pour, le plus souvent, les aimer d'autant plus par après, et souvent aussi comprendre et accepter les choix parentaux détestés plus tôt.
    Encore une fois courage à vous tous.

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    1. Neptune,

      Un placement peut être décidé par un médecin "particulier" mais il pourrait faire l'objet d'un recours de ma part (c'est la prof de droit qui cause), tout comme de la personne concernée.

      En l'espèce, à ce stade, le placement est prononcé par le médecin mais avec mon accord : j'en saurai davantage demain soir.

      Je crois n'avais jamais détesté mes parents mais diantre, qu'est-ce que j'ai eu parfois honte d'eux, ado :-)

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  5. Il ne faut pas oublier que tout changement, quel qu'il soit, fait peur. Donc le "je te déteste" est sûrement un moyen de défense contre cette peur.
    Bon courage à vous deux.

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  6. Ma certitude: si des professionnels n'arrivent pas à résoudre les problèmes des autres (dans ce cas, à ce que Junior arrive à se construire), comment voulez-vous que moi, avec mes armes, j'y arrive? Ou dit d'une autre façon: ceci me dépasse, je peux (et doit) essayer, mais il est normal que je n'y arrive pas, que la communication ne passe pas.
    Courage.
    Sofito

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    1. Ça fait long, là... Je m'inquiète. J'espère que ça va.
      Je t'embrasse.
      Sofito

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  7. Le "je te déteste", c'est normal.

    Pour l'hospitalisation, je ne suis rien pour dire quoi que ce soit, sauf qu'il faut lâcher prise et accepter ce que les médecins te disent.

    J'ai été dans une situation un peu du même type avec un de mes enfants: pour un moment, je n'étais plus responsable, c'est les autres qui prenaient en charge.

    C'était presque un soulagement.

    Cela dit, les enfants qui font des soucis, il n'y a rien de pire, mais ça finit par aller mieux.

    Je te souhaite beaucoup de courage.

    Amicalement

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    1. François, ton parcours me donne beaucoup d'espoir, j'y songe souvent. Merci pour tes voeux.

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  8. Chère Madame Poppins.
    J'espère que vous allez bien. Je pense à vous.
    M

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  10. Aucune nouvelle depuis ce dernier billet, j'espère sincèrement que vous allez bien.
    Beaucoup de courage à vous

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